La centrale bleue

Une centrale thermique abandonnée, voir deux en une si on est pointilleux, quoi de mieux pour faire rêver et s’évader les passionnés de rouille industrielle que nous sommes ?

Un matin d’hiver (quel est le con qui a encore décidé de partir fricher en hiver ?!) bien glacial, il fait encore nuit quand nous nous glissons dans les entrailles de ce géant endormi. Très vite nous montons jusqu’à la toiture, afin d’admirer le levé de soleil sur la ville, et également observer le vigile semblant chercher quelque-chose … Le gardien reparti, le soleil enfin levé, nous attaquons enfin l’exploration !

L'égaré.
L’égaré.
Ça poutre !
Ça poutre !

Très vite, nous retrouvons un environnement qui devient familier au fil des ans, des turbines, tuyaux, du matériel de contrôle, manomètres, bref une belle centrale s’offre à nous. Assez moderne, il faut le noter.

Hall des turbines
Hall des turbines.
Tout est sous contrôle.
Tout est sous contrôle !

Mais c’est sans compter sur les deux surprises de cette centrale ! A commencer par une seconde centrale plus ancienne, dans un état de conservation assez plaisant pour notre visite. Très peu de monde semble être passé avant nous, du coup peu de dégradations.
Dans cette partie, tout est rouillé, de la mousse pousse là où l’eau s’infiltre, bref un mélange de couleurs très agréable à l’oeil.

Rouille et mousse ! Magique !
Rouille et mousse ! Magique !
Cheminées sous plafond.
Cheminées sous plafond.
Des tuyaux
Des tuyaux.

Puis arrive la seconde surprise, un départ très haute tension, dont une partie est toujours sous tension. Exploration sous tension !

Sous tension !
Sous tension !

Place à la galerie.

Laisser un commentaire